Alors que le daguerréotype commence à peine à se répandre, d'autres techniques voient le jour.
Le "calotype" de l'Anglais Talbot, procédé négatif-positif sur papier, ouvre la voie à un progrès capital. Recouverte de grains d'argent qui noircissent à la lumière, sa feuille produit une image en "négatif".
Les parties claires du sujet y deviennent sombres et inversement. Une autre feuille, exposée au contact de ce cliché, devient l'épreuve finale, "positive".
Ainsi, un seul négatif peut donner naissance à de multiples tirages.